« L'inconstance de la constance comme une fluidité des fluides, lumières naissantes aux sources de la couleur, la beauté vole, nacre noire au jardin accompli, retour de la parole perdue et invisible, toute Vertu qui s'avance est déjà charmes de ce qui s'éprend à qui s'avance... marcher nus, c'est dire le procès flamboyant de l unicité toujours au delà et en deçà de qui se penche, le miroir est oval,, tout percevant qui se mue en sa parabole et se lève au jour, s'émeut en dehors de toute densité et pourtant danse, fées du soir, embrassez le jour qui se fait...couleurs, vibrez.de sa fréquence.... »


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